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Nos pages "conseils".

Divers textes glânés sur le net ou observations au seins de notre élevage de Shiba Inu, n'oubliez jamais que seul un vétérinaire ou un spécialiste peuvent vous conseiller et ceci uniquement après avoir ausculté votre chien !! sur le net tout est vrai, et tout est faux ou mal adapté car chaque chien est différent selon la race, son éducation et son environnement.



Les principaux signaux canins

 

 

Les divers signaux d'apaisement : l'assurance vie des chiens !

 



 

Communication

 

La communication animale est le processus par lequel un des animaux fournit des informations à d'autres animaux qu'ils peuvent incorporer dans leur prise de décision.

 

Les animaux comme les humains font face à des décisions quotidiennes sur la façon de se comporter. Les choix peuvent être aussi simples ou aussi complexes que de décider de l'approche d'un compagnon réticent. Les décisions, qui peuvent être réflexives ou conscientes, sont guidées par des préjugés fondés sur les résultats alternatifs de choix, d'expérience plus ou moins récente, sur des conditions probables, des informations visuelles ou sensorielles.

 

Le langage verbal humain permet pourtant d'exprimer des modes de pensée et des références cognitives. Le mouvement et les postures reflètent les humeurs et l'âme d'une personne.

Le chien lui, en totale opposition à l'homme, contrôle la moindre de ses postures. Le langage du corps constitue un extraordinaire bouquet de métaphores visuelles qui signalent des messages sur le monde intérieur d'un être vivant.

 

Communication non verbale chez le chien


La communication canine non verbale est très évoluée. Le chien communique en utilisant son corps : la queue, les yeux, les oreilles et la bouche conversent en permanence avec nous si l’on veut bien l'observer correctement et s’en apercevoir. Les postures du corps sont le relais de plus amples renseignements au message dans sa globalité.

Étudier le comportement non verbal et déchiffrer ces messages dépendent de plusieurs facteurs, tels que l'environnement de la scène, les participants, le lieu, les relations avec le propriétaire, etc.

 

Communication par l'intermédiaire des oreilles


Elles sont constituées de 20 muscles lui permettant une grande variété d'orientations possibles et très fines. Comme la queue, les oreilles doivent être examinées par rapport à leur état naturel. Il serait difficile d'interpréter un message lorsque les épis sont très courts ou très long. Les oreilles dressées, ou les oreilles se penchant en avant signifient l'attention ou la réévaluation d'une situation nouvelle. Si cette position est accompagnée d'un léger signe de tête et d’une bouche ouverte, il marque alors un intérêt possible dans la situation, en disant: « Je trouve cela intéressant ».

L'exposition des dents, d'autre part, est un signe d'agression dans une situation difficile. Oreilles tirées vers l'arrière à plat contre le relais de crâne, le chien exprime de la peur ou de l'auto-défense. Cela exprime la méfiance et pourrait indiquer une hésitation, une agression ou les deux combinés.

 
Ses oreilles sont pointées en avant ou couchées en arrière

 

La position des oreilles indique le degré de domination du chien, mais aussi son niveau d’assurance. Des oreilles droites ou pointées en avant expriment une domination et/ou une assurance maximum ; des oreilles complètement rabattues en arrière, presque écrasées sur la tête, traduisent en revanche une soumission et/ou un manque d’assurance maximum. Ce signal montre aussi une incertitude sur le comportement à adopter. Tous les stades intermédiaires correspondent à des états d’âme intermédiaires.

Beaucoup de chiens, quand ils saluent leur maître, redressent et couchent sans cesse leurs oreilles, cela signifie que l’animal se sent sûr de lui quand son maître est près de lui, mais qu’il se soumet également à ce dernier. L’alternance des deux gestes dénote la présence simultanée des deux états d’âme, qui s’expriment donc en s’enchaînant rapidement.

La position des oreilles ne revêt bien entendu une valeur hiérarchique que dans le cas d’un contact rapproché chien-chien ou chien-homme : dans toutes les autres situations, le chien gardera ses oreilles droites s’il est attentif, et détendues s’il ne s’intéresse pas particulièrement à ce qui l’entoure.

 

 La communication avec la queue du chien


La position de la queue d'un chien peut indiquer son statut social et son humeur. Certains paramètres doivent être pris en compte pour comprendre la réactivité de la queue, comme sa pose naturelle, qui diffère selon les chiens. Par exemple, si la queue n'est pas rigide, et apposée quasi-verticalement, il indique un mode d'écoute, comme s’il cherchait à voir ce qui se passe.

Une queue raide et verticale attesterait de la présence d'une menace ou d'invasion, comme s'il cherchait à voir et à exprimer son côté sûr de lui.

Bien sûr, il faut revoir les tenues de queue selon le type du chien, le Shiba Inu ayant une queue bien roulée sur le dos ou en arc, tenue bien droite et bien haute, les lévriers ayant une queue très basse. On trouve entre ces deux chiens une multitude de tenues qu’il faudra analyser. De plus, comme le Lapinkoira, certains chiens ont la queue basse et elle vient sur le dos avec l’allant (le déplacement du chien), tous les signaux seront modifiés en conséquence.

Une manière simpliste de penser consiste à dire que les émotions du chien sont trahies par la queue, plus la queue est haute, plus l’émotion est positive et inversement, la queue basse exprime un sentiment négatif. L’intensité du mouvement nous donne un aperçu du degré d’intérêt.

Bien entendu nous parlons de l’intérêt positif ou négatif pour le chien à son niveau éthologique et intrinsèque, oubliez l’anthropomorphisme.

 
Le regard du chien


Les yeux peuvent exprimer une très grande variété d'expressions ou d'émotions. Regarder fixement et de façon insistante dans les yeux est un défi, en disant : « Qui pensez-vous que vous êtes? ». S'abstenir ou fuir le regard signifie « Je respecte ton autorité » ou « Je ne cherche pas de problème ». Cette signification est extraite de son cadre, car dans la seconde qui suit, une autre série de comportements s'ajoute et la communication non verbale peut prendre des tournures diverses et variées.


Le chien cligne des yeux


Le chien cligne souvent littéralement des yeux, en battant des paupières. Il s’agit d’un signal de non-belligérance, et parfois, de soumission.

 

Traductions possibles :

-       « Mes intentions sont amicales. »

-       « C’est toi le chef. »

-       « Excuse-moi. »


Le chien garde les yeux mi-clos


Autre signal de non-belligérance.

Traduction : « Je n’ai pas l’intention de me disputer, je voudrais devenir ton ami. »

 

 Le chien regarde droit dans les yeux


Chez les chiens, il s’agit toujours d’un signe de provocation, d’autant plus accentué qu’il s’accompagne d’une mimique corporelle à caractère dominant.

Les chiens domestiques fixent néanmoins souvent leur maître dans les yeux afin de mieux saisir les ordres ou les états d’âme, un comportement qu’ils ont également acquis par la domestication. Lorsque le chien fixe amicalement un homme, le reste de son corps traduit une profonde décontraction (ou envoie des signaux de soumission). Un chien qui vous fixe avec un corps raide et tendu vous lance au contraire un défi et vous témoigne en outre de l’agressivité s’il montre le blanc de ses yeux.

 

La bouche


Les chiens sont incapables de communiquer en utilisant leur bouche comme les êtres humains le font, mais quelques unes des expressions qu'ils ont sont très importantes. Une bouche molle et légèrement ouverte, avec la langue pendante donne l’air au chien de sourire. Un bâillement est la moins compréhensible des expressions du chien. Il est parfois considéré comme un signe de fatigue, de faim ou d'ennui, mais il est souvent un signe de tension ou d'anxiété.


Le chien garde la gueule ouverte et les lèvres lâches


Quand un chien garde sa gueule ouverte et ses lèvres lâches, sans les plisser, il est généralement détendu et n’a pas d’intentions agressives. Même s’il ne grogne pas, le chien qui envisage de mordre a toujours la gueule fermée.

Un chien dans une posture détendue peut aussi, bien entendu, mordre sans préavis, mais il faut qu’une raison bien précise le pousse à agir ainsi (une douleur subite, comme une patte ou une queue écrasées).

Traduction : « Je vais bien, ne t’inquiète pas. »


Le chien plisse les lèvres et montre les dents


Cette mimique exprime l’agressivité et constitue une marque de domination ou de soumission selon si les lèvres sont respectivement plissées en avant ou étirées en arrière. Le geste peut ne pas s’accompagner d’un grognement, mais n’en reste pas moins une menace et l’éventuel prélude à une attaque.

Traduction : « Attention, au moindre faux pas, je t’agresse. »


Le chien bâille


Contrairement à l’homme, le chien ne bâille pas d’ennui. Il bâille en revanche de fatigue et parce qu’il a sommeil ou faim, tout comme nous. Mais le bâillement constitue également un moyen de communication et, plus exactement, un signal de pacification. C’est la raison pour laquelle le chien bâille souvent quand son maître le gronde (et non pas pour se moquer de lui).


Le chien mâche de l’air

 Ce geste caractéristique qui consiste à mâcher dans le vide équivaut, chez le chien, à un comportement de pacification. Il dérive probablement de l’association mentale de l’apaisement de la faim qui signifie état de bien-être. Le chien l’exécute aussi bien à l’égard de ses semblables qu’envers son maître.


Le chien lèche dans le vide


Le chien exécute le geste consistant à lécher (y compris loin de la cible) quand il veut lancer des signaux de pacification, même s’il semble parfois vraiment « faire la nique ».

 

Le corps et les pattes


Les chiens utilisent leurs pattes et le corps pour transmettre une grande variété de sentiments. Dans ce cas aussi, ces messages sont surtout sociaux. Quand un chien étire ses pattes avant, le dos voûté, les pattes arrière droites et la tête près du sol, il suggère un arc classique : « on joue ? ». Quand le chien est debout avec les pattes fermement ancrées, ou qu’il se déplace de façon rigide, il affirme son autorité, c’est un chien dominant prêt au combat : «Je suis le patron ici, nous allons voir ce que tu vaux ». Si le corps est légèrement courbé et les pattes sont repliées, cela signifie « J'accepte ton défi et je suis pour la lutte ». Si le chien roule sur le côté, il veut montrer : « Il ne faut pas lutter contre », ou « Je ne suis pas menaçant » - c'est un geste d'apaisement afin d'éviter la confrontation. Beaucoup de chiens agissent de cette façon quand ils sont détendus.

 

 La plupart des signaux dont nous parlons ici sont cités parmi les signaux d’apaisement étudiés en profondeur par Turid Rugaas dans son livre sur les signaux d’apaisement.

 

Les chiens ont trois façons de communiquer avec les autres chiens par leur langage corporel. La communication avec les êtres humains n'est qu'une utilisation de ces modes de communication : le langage corporel, les vocalisations, le contact visuel direct.

 

L'immense majorité des propriétaires de chiens dira qu'un chiot qui pose ses pattes dans sa gamelle semble dire à son propriétaire qu'il a faim. De même, quand un chien laisse tomber sa laisse devant son propriétaire, il semble exprimer le besoin d'une promenade. Mais en fait, il y a une différence de fond entre un chien qui essaie d'obtenir de son propriétaire de faire quelque chose et la nécessité pour le chien de dîner ou de faire une promenade.

Les signaux d'apaisements ou l’assurance vie de votre toutou

 

L'histoire de Vesla

 

L'énorme briard attaqua violemment en grognant. Il fonça à toute allure vers la petite chienne elkhound. Celle-ci s'arrêta de bouger, resta quasi immobile et tourna la tête sur le côté.
A quelques pas de l'elkhound, le briard s'arrêta et parut déconcerté, comme s'il ne savait plus ce qu'il devait faire. Puis il commença à regarder autour de lui pour trouver une activité de remplacement, flaira un peu le sol, et retourna d'où il venait.

 

Turig Rugaas,Les signaux d'apaisement.

Les bases de la communication canine


Les éléments de langage corporel du chien que nous avons décortiqués dans les pages précédentes, associés entre eux, constituent des postures, des rituels, des routines, dont certains sont appelés "signaux d'apaisement".


Ces signaux sont émis par le chien qui se sent dans une situation plus ou moins confortable, et qui exprime son état émotionnel du moment : joie, plaisir, inquiétude, impatience, agacement, stress, peur, dominance, soumission, etc.


Des signaux d'apaisements pour informer, rassurer, et se rassurer. 

 Ces signaux ont l'avantage d'apaiser le chien s'il se trouve dans un état plus ou moins inconfortable.
Lorsque cette situation est due à une rencontre, ou à l'imminence d'une rencontre, en émettant des signaux d'apaisement, même à distance, le chien fait part de son ressenti et de ses intentions à son interlocuteur. En même temps, il tente de l'apaiser si besoin, voire de désamorcer une situation de conflit. Le signal dit d'apaisement est aussi par nature et par fonction un signal d'information, parfois un signal d'avertissement et à l’extrême une alerte. 

Les signaux d'apaisement sont donc une des clés des relations sociales dans l'univers du chien. 

Instrument des relations amicales et ludiques

Un certain nombre de ces signaux exprime le bien-être ou témoigne d'un climat de confiance.  D'autres sont des invitations à des activités ludiques ou sont même des invitations au jeu.

Pour nous, humains, la connaissance des signaux d'apaisement permet de se présenter de façon rassurante à un chien, qui pourra se sentir à l'aise, et accepter une relation amicale.

Les signaux d'apaisement sont des instruments fondamentaux de prévention des conflits.

Par ce fait, ils sont même des instruments de prévention des morsures.


Pour jouer leur rôle, les signaux d'apaisement doivent être reconnus et bien décodés, par les congénères, mais aussi par les humains.

Ce décodage ne posera pas de problèmes aux chiens restés le temps nécessaire au contact de leurs mères. Mais certains chiens, rares heureusement, risquent de ne pas posséder tous les codes de cet instrument. Ils ont, en général, été des chiots trop précocement séparés de leur mère, ou ont été mal démarrés (mal sociabilisés) par une mère elle-même asociale. C'est pourquoi il demeure un certain risque de conflit quand des chiens inconnus l'un de l'autre se rencontrent.

 

La méconnaissance des signaux d'apaisement par les maîtres et les enfants est la cause de bien des accidents que l'on relève dans les familles. Un chien normalement socialisé, en situation désagréable, ne va, au pire, déclencher un geste agressif qu’après avoir émis des signaux d'apaisement. On devrait en l’occurrence parler de signaux d'agacement. Et bien sûr, si l'entourage ne sait pas les distinguer, il peut laisser un chien se faire gagner par l’énervement, puis par l'exaspération, jusqu'au point de mordre pour mettre un terme à la situation.

D'où l’extrême importance d’apprendre ces signaux d'apaisement aux familles, et aux enfants en premier lieu qui sont plus vulnérables. 

Ils sont importants pour savoir respecter un chien, son équilibre et son confort, pour préserver la tranquillité des hommes et particulièrement celle des enfants. Ils servent à préserver l'harmonie des relations entre le chien et la famille et vice versa.

Le chien sait-il lorsqu'il fait une bêtise? Non !

Il est courant d'entendre dire, dans plusieurs contextes différents, que le chien sait lorsqu'il a fait une bêtise. Pourtant, le concept même d'associer un fait passé à un événement du présent est quelque chose que le chien ne comprend pas, et pour aller plus loin dans le raisonnement, il n'est tout simplement pas en mesure, psychologiquement parlant, de le faire. Alors d'où vient cette idée qu'ont les maîtres de croire que le chien sait qu'il a fait une bêtise?

 

M. et Mme Dupond ont un Shiba Inu. Mme Dupond va faire un tour dans son jardin et aperçoit un trou. Elle interpelle tout de suite son chien pour le gronder. Celui-ci se plaque au sol avec un regard de "chien battu". Son mari, qui entend la scène, vient voir ce qu'il se passe. Elle lui explique que leur chien a fait un trou dans le jardin, avec pour preuve qu'elle sait que c'est lui qui fait la bêtise car il se couche.

Dans cet exemple, Mme Dupond est convaincue que son chien s'est plaqué au sol pour "s'excuser" d'avoir fait un trou. Mais dans la tête du chien, le scénario est complétement différent:

Médor, le Shiba, est en train de prendre le soleil en se prélassant tranquillement dans un coin du jardin. Soudain il entend sa maîtresse l'appeler avec une intonation "pas contente". Suivant la direction de la voix, il rejoint sa maîtresse d'un pas nonchalant. Arrivant vers elle, il se fait gronder par sa maîtresse et se dit "elle n'est pas contente, je dois apaiser sa colère" et se couche au sol car il a appris qu'en faisant ce geste, sa maîtresse devenait plus calme, de la même façon qu'il faut s'asseoir au mot "assis". Comme convenu, après s'être couché, sa maîtresse se calme et une fois les talons tournés, il repart à ses occupations.


Il est donc clair que le chien n'est pas en mesure d'associer un fait passé à un événement présent.
Le chien se met en position de soumission (couché, sur le dos, plaqué au sol, regard battu) dans le but d'apaiser la colère de sa maîtresse sans connaître la raison de celle-ci. Il ne sait donc pas qu'il a fait une bêtise, tout ce qu'il sait c'est qu'elle est en colère grâce à l'intonation de sa voix ainsi que les expressions faciales.

 

Vous voulez une preuve que le chien ne sait pas qu'il a fait une bêtise? C'est simple, attendez qu'il ait le dos tourné puis versez de l'eau en petite quantité sur le sol. Enfin appelez-le comme si vous veniez de découvrir qu'il a fait pipi. Vous constaterez alors de vous-même que le chien adoptera la même posture de soumission. C'est une preuve qu'il ne sait pas qu'il a fait une bêtise puisqu'il se met sur le dos pour quelque chose dont vous êtes sûr qu'il n'a pas fait.

C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il faut punir un chien lorsqu'il est pris sur le fait et pas après, car cela ne sert à rien, le chien ne comprendra pas et recommencera aussitôt à faire la même bêtise.

 

Une autre raison qui fait largement perdurer cette légende que le chien sait qu’il a fait une bêtise, c'est l'anthropomorphisme. Dans ce cas précis, ce sont surtout les personnes âgées, les personnes psychologiquement blessées ou les familles sans enfants ayant des chiens de moyenne, petite et très petite taille.


Dans ces familles, le chien prend la place de l'enfant, et inconsciemment, le maître lui en attribue toutes les caractéristiques. Le chien dort dans le lit, mange à table, mange comme son maître, est chouchouté jusqu'à l'achat d'accessoires pas forcément nécessaires à son bien être vital. Le maître le considère comme un membre de sa famille, comme un humain et par conséquent, lui attribue également ses réactions comme des comportements humains. Ainsi, dans la psychologie humaine, une personne qui baisse la tête ou les yeux, fait son regard de chien battu, agit de la sorte par culpabilité. Et le maître va indirectement faire l'association entre les deux puisque le chien n'est plus un chien mais un enfant. Ainsi, pour lui, le chien sait lorsqu'il fait une bêtise puisqu'il prend un air de coupable, alors que comme démontré précédemment, le chien agit de la sorte pour apaiser la colère de son maître.

 

 

 


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